Un mois depuis que je n’ai pris le temps d’écrire ici. C’est vraiment trop long. Je m’auto-flagelle avec des poireaux pour la peine tiens.
Mais comme d’hab, j’ai de vraies bonnes circonstances atténuantes. Tout d’abord, un nouveau job à haut niveau d’intéressitude et de challengement (qui n’est malheureusement qu’un stage pour l’instant) dans un univers qui m’est complètement étranger pour le moment, ou presque : le luxe. Une fois de plus dans ma vie, la maxime populaire “ne jamais dire jamais” se vérifie d’une façon tout à fait magistrale.
Ensuite, un nouvel appart. Encore. 2 déménagements en moins d’un an. Un nouvel espace, 3 fois plus petit que le précédent, à apprivoiser. Alors ne me jetez pas la pierre, Pierre, mais j’ai préféré passer plusieurs soirées à vider les cartons, faire un pet’ de décoration, histoire de me sentir chez moi.
Enfin, c’est le retour des moments entre copains à la sortie du boulot, des longues soirées d’été en terrasses (de bars, of course), et des balades photographiques. Bref, moins de temps à la maison, plus de temps à la boisson (je n’ai rien trouvé de pire comme rime, pardon).
Néanmoins, je me suis équipée pour les quelques soirs à passer seule (ou accompagnée) ainsi que pour les longs moments de solitude dans les transports en commun.
chronophage attitude
Premièrement, j’ai eu le plaisir de recevoir un exemplaire de Naughty Bear sur Xboite. Alors oui, ce n’est pas un blockbuster vidéo-ludique mais il est suffisamment singulier pour valoir le détour. Pour résumer brièvement, vous êtes un nounours du mal. Et ça c’est la classe. Vos compatriotes nounours vous mettent à l’écart, vous êtes seul et mal-aimé ainsi vous décidez de vous venger de leur mépris. Tout ce qui vous entoure est une arme potentielle pour blesser puis massacrer vos semblables, mais les faire flipper et les rendre fous à tel point qu’ils en implosent est nettement plus sympa. Moralité : ce jeu ne vous en mettra pas plein la vue, mais vous permettra d’expulser toutes vos pulsions malsaines les plus refoulées. Et c’est tout ce qu’on lui demande. Amen.
Deuxièmement, j’ai remarqué que ma DS se sentait terriblement délaissée. J’ai craqué sur le deuxième opus du Professeur Layton (sorti il y a belle lurette) et sur Lego Harry Potter années 1 à 4. Plus casual tu meurs, mais j’assume parfaitement. Sur le premier rien à dire, toujours aussi prenant, toujours aussi joli, toujours aussi adapté au support. Pour le second, rien n’est moins sûr. Le multi-portage nuit grandement à l’adaptation DS au niveau graphique, même si, et heureusement, la console est relativement bien adaptée à l’usage de la baguette magique. Je déplore au plus au point l’absence de dialogues, mais je me console avec la sensation d’être à Poudlard et la quantité des contenus à débloquer.
Troisièmement, en tant qu’amatrice de beaux livres, j’ai profité de la sortie de Death Note en édition black pour enfin découvrir cette œuvre dont le succès n’est plus à démontrer. Et puis j’ai fini par compléter la courte (mais rappelez vous, size doesn’t matter) série Doubt, un manga façon thriller psychologique aux faux-airs de Saw. Je n’ai pas encore lu le tome 4, mais je compte bien reprendre l’histoire du début afin d’en apprécier encore plus la chute. En tout cas, pour ceux qui sont à court de mangas, je vous le conseille vivement.
Allez, c’était CleMs en live de son futon, qui espère avoir la motivation pour prendre le temps d’écrire ici plus souvent, quitte à sacrifier son sommeil. Envoyez-moi des mails d’insultes à cet effet (et uniquement à cet effet, merci), ça pourrait presque fonctionner.
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